BRASSENS Georges

«Si je voulais étudier l’écriture de la musique, comme un vrai musicien, je devrais y consacrer deux ou trois années, à raison de cinq à six heures par jour. J’ai, dans ce domaine, de très mauvaises habitudes dont il faudrait d’abord que je me défasse, pour ensuite réapprendre comme un gosse qui fait ses classes au conservatoire. Un tel travail m’accaparerait trop.[…] A mon âge, ce serait du temps perdu. J’en perds assez comme cela. Je crois qu’il vaut mieux que je pousse avec mes défauts, mes lacunes, mon ignorance. Que je reste cet autodidacte défectueux».
[In : Entretiens avec Philippe Nemo • 1979]

«La contrainte suscite l’imagination».
[In : Entretiens avec Pierre Barouh]

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