Il y a un mot sublime de Casanova à l’une de ses amies, c’est le fin du fin de la sagesse :
«Je t’en supplie, sois gaie : la tristesse me tue.»
Vous pouvez vous arrêter là. Personne n’ira plus loin. Aime-toi gaiement, et aime ton prochain comme toi-même.
— Le cœur absolu, 1987